TRAVERS

Visuel – charte graphique créée pour l’événement, le carton d’invitation et pour le document de médiation présent sur place.



TRAVERS

Dans le cadre de sa résidence au collège Mathurin Martin de Baud propulsé par L’Art dans les Chapelles et soutenue par la DRAC,
Simon Augade a travaillé, en parallèle de la création Travers, avec une classe de 5ème, 2016.



Les questions de l’architecture, de l’habitat, d’espace, d’intérieur/extérieur, d’assemblage, d’équilibre, de confrontation, de relation entre deux éléments et d’autres notions liées à la démarche artistique et sculpturale de Simon Augade ont été abordées via plusieurs formes d’ateliers avec les élèves de la classe de 5èmeC. Ces différentes formes d’ateliers ont, dans un premier temps, commencé par la présentation et l’explication avec l’apport de vocabulaire du travail de l’artiste et de sa démarche artistique auprès des élèves et de l’équipe pédagogique.

1ère forme d’atelier :
Atelier d’écriture avec les élèves, au regard de la présentation et de la découverte de l’univers de Simon Augade, mêlant imaginaire et contraintes d’écriture (vocabulaire, titres, amorces…). Suite à cela, des dessins ont été réalisé en réponse aux textes, le tout rassemblé dans un livret.

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2ème forme d’atelier :
Les élèves sont ensuite passés à une expérience physique de l’espace et de l’architecture en déambulant dans l’établissement pour relever et prendre mesure des ouvertures, fenêtres de ce dernier. Puis ce relevé de formes a été retranscrit à différentes échelles sur du contreplaqué, coupé, puis assemblé à l’aide de charnières. Ce qui était alors ouvertures se transforme en objets opaques devenant les cloisons de microarchitectures. Les élèves ont effectué un travail d’assemblage en petits groupes de deux pour expérimenter et s’aider à faire émerger les premiers modules. Ces constructions étaient jusque-là encore totalement dépliables. Réflexion autour d’un assemblage plan qui peut prendre forme dans l’espace et se déployer en volume de différentes manières.

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3ème forme d’atelier :
Ce principe (pliage/dépliage, plat/volume) a fait l’objet d’une capture photographique pour révéler ces différentes étapes de mise en volume. Ces photographies ont ensuite été la matière première de la réalisation de petites animations vidéo montrant ces variations de mise en mouvement. Les élèves sont passés d’une expérience physique du volume à sa décomposition par l’image puis à son réassemblage via le montage vidéo. Enfin ces différents modules ont étaient remis en commun. Les différents petits groupes se sont associés pour assembler leurs volumes ensemble afin de les unir et de former une construction plus importante où le regard et le corps peuvent se projeter à une autre échelle.

4ème forme d’atelier :
Les élèves ont abordé sous un autre angle ces notions d’architecture et d’habitat, en réalisant des intérieurs d’appartements dans des boîtes en carton toutes de même format. L’idée était de se servir de « modèles » déjà conçus trouvés et découpés dans des catalogues de mobilier. Les élèves se sont projetés dans ces micros foyers avec un apport plus classique et normé, dessiné par les grandes marques d’ameublement. La relation à la fonction et à l’espace est alors interrogée sous une autre facette que dans le laboratoire précédent.

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5ème forme d’atelier :
Des jeux de mots, mots-valises, rébus et calligrammes ont permis de re-aborder le vocabulaire qu’ils ont expérimenté jusque-là, le lister le comprendre et le mettre en lien.

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6ème forme d’atelier :
Il s’agissait de questionner la relation possible entre deux éléments. Le premier élément, point de départ est unique, blanc et rectangulaire, symbole d’une certaine perfection géométrique et structurelle. Le second élément est multiple, accumulation de différents bouts de bois plus ou moins rectangulaires de différentes couleurs. Ces deux entités viennent alors se confronter, se connecter, s’opposer ou rentrer en dialogue. L’un rigide, l’autre fragile, s’agglutinant sur le premier.

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7ème forme d’atelier :
Une phase de réflexion a était menée pour anticiper les modalités de présentation et de restitution de ces différents travaux. Les questions d’installation, de scénographie et d’exposition ont alors été abordées.
Réalisation du mobilier d’exposition par l’artiste. En parallèle à cela, une oeuvre in situ a était réalisée par l’artiste dans le hall de l’établissement. Tous les autres élèves et usagers de l’établissement ont pu suivre la construction et l’évolution d’une sculpture monumentale questionnant le lieu qu’elle habite.

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Vernissage!

Document de médiation présent sur place durant le vernissage et l’exposition